
DISSOLUTION
Le séminaire de Caracas 12 juillet 1980 - Intégrale
SÉMINAIRES* 2025 À UZÈS
*Du latin seminarium (« pépinière »), de semen (« graine »)
« Je te demande de supporter mon incapacité verbale et de saisir directement par ton esprit rapide les choses elles-mêmes »
DE MAGISTRO
(Saint Augustin à Adéodat)


SÉMINAIRES* 2024 À UZÈS
*Du latin seminarium (« pépinière »), de semen (« graine »)
« Je te demande de supporter mon incapacité verbale et de saisir directement par ton esprit rapide les choses elles-mêmes »
DE MAGISTRO
(Saint Augustin à Adéodat)
L'ÉTHIQUE DE LA PSYCHANALYSE
AVEC CHRISTIAN DUBUIS SANTINI
SAMEDI 22 JUIN À 16H
Nous invitons Monsieur Dubuis Santini a déchiffrer ce que Lacan nous apporte dans son séminaire de 1959 à 1960 sur L'ÉTHIQUE.
ENTRÉE LIBRE SUR INSCRIPTION (PLACES LIMITÉES)
Intervention s'inscrivant dans le Séminaire que christian Dubuis Santini déploie depuis 2016, "Lacan, nous et le Réel", qui entend fédérer, autour d’une école impossible de la psychanalyse, les sujets qui ne s’y retrouvent plus dans les formes institutionnalisées et perverties de la transmission de la psychanalyse, portés par le désir de s’inscrire dans la fidélité à l’enseignement de Lacan, sa lettre et son esprit.
Écouter le séminaire de C. Dubuis Santini :

SÉMINAIRES* 2023 À UZÈS
*Du latin seminarium (« pépinière »), de semen (« graine »)
"Troisième sexe"
"Noeud Borroméen généralisé"
"Lilith"
Un espace où gît la continuité d'une écriture pour ceux soucieux d'une tenue dans un semblant et d'un discours qui n'en serait pas.
Ces journées de travail se déroulent autour de la lecture et s'accompagnent d'intervenants au fil de l'année.
S'inscrire ci-dessous permet de recevoir les dates et horaires, les thématiques, les noms des intervenants,
les Textes et Écrits dont il sera question.
Il vous suffira ensuite de confirmer votre présence.
"C'est pourquoi peut-être il n'est pas sans rapport qu'à un autre bout du champ, celui qui est le nôtre et qui n'a certes pas son mot à dire au sujet de la biologie, on s'aperçoive
aussi que c'est un petit peu plus compliqué que ça de parler du sexe, et que par exemple il conviendrait de ne pas confondre ce qu'il en est du rapport... ce terme étant pris
dans un sens logique ...de la relation qui fonde la fonction conjointe de deux sexes. Ça semble comme ça aller de soi – hein ? - qu'il n'y en ait que deux !
Pourquoi il n'y en aurait pas trois ou plus ?
Il n'y a pas ici la moindre allusion aux usages batifolants qui ont été faits de ce terme de « troisième sexe »
par exemple...
livre particulièrement remarquable, je le dis entre parenthèses, par l'irresponsabilité dont il témoigne ...biologiquement, pourquoi en effet n'y en aurait-il pas trois ?
Le fait qu'il y en ait deux constitue certes une des assises fondamentales de la réalité, et dont il conviendrait de s'apercevoir jusqu'où vont les incidences logiques parce que,
par un curieux retour, chaque fois que nous avons affaire au nombre deux, voilà, au moins dans notre mental, le sexe qui fait sa rentrée par une petite porte,
ceci d'autant plus facilement que, du sexe, on ne sait rien".
Jacques Lacan - D’un l’Autre à l’autre - Leçon du 13 Novembre 1968
"Il y quelque chose que je vous ai dit : pourquoi n’y aurait-il pas un troisième sexe ? Tout ça vient de ce que j’ai étudié le borroméen généralisé.
Le borroméen généralisé, il va de soi que je n’y comprends rien, je m’embrouille...
Je m’embrouille, ce dont vous témoigne le fait qu’en écrivant au tableau, je m’y suis, c’est le cas de le dire, absolument embrouillé.
Je voudrais aujourd’hui vous faire sentir que le borroméen généralisé, ce n’est pas une petite affaire. Je m’embrouille et je vous congédie de ce fait".
Jacques Lacan - La Topologie et le Temps - Leçon du 13 mars 1979






COLLOQUE ANNUEL DU COLLEGE DES HUMANITÉS
Salle Molière - Opéra Comédie à Montpellier
Le 8 et 9 octobre 2021
« Si je commence par l’amour, c’est que l’amour est pour tous – ils ont beau le nier – la grande chose de la vie ». Baudelaire
Lacan a beaucoup parlé de l’amour, enrichi qu’il était par sa culture littéraire, poétique, philosophique, mystique…Il commence par l’amour narcissique, corrélatif de son fameux stade du miroir. L’image est alors fondamentale, l’objet aimé n’est autre que son propre moi. C’est l’amour qui rend fou, quand on ne sait plus où commence l’un et où finit l’autre ! C’est aussi l’attachement mortel du coup de foudre. En rester là procéderait d’un ravalement.
Lacan va donc extraire l’amour de son engluement narcissique pour en faire un pacte symbolique dans « les dits de l’amour » à la condition qu’une « liberté accepte de se renoncer elle même ». Dans le même souci d’atténuer la capture narcissique, il passera du « pacte » au « don actif » disant alors que « l’amour c’est donner ce qu’on n’a pas à quelqu’un qui n’en veut pas », et introduisant de ce fait la dimension du manque.
Puis, adossé à Hegel et Heidegger, il va faire de l’amour une passion de l’être, aux cotés de la haine et de l’ignorance, situant l’amour au joint de la parole et de l’image. L’amour devient alors une des voies par lesquelles l’être se réalise. Ces passions de l’être Lacan les traduira d’un mot : « l’hainamoration »…pas d’amour sans haine !
Mais, considérant que l’amour vise un au delà de l’objet, Lacan en vient à interroger l’amour courtois et l’amour mystique. L’amour courtois, chanté par les troubadours, se délectait de mettre en mots le corps de la Dame pour ne pas y toucher…Quant à l’amour mystique, offrant l’illusion d’un amour pur, il invite à jouir du renoncement à toutes jouissances ! L’Eglise s’est quelque peu rétractée en proposant « l’amour du prochain » pour faire limite au mal.
Alors vient une question : que faire du désir ? Admettons que le désir cherche une satisfaction et que l’amour vise l’être. Mais quel objet pour satisfaire le désir ?
Un complément sexuel ? Soit ! Mais est-ce suffisant ? En réalité, l’objet recherché n’a pas d’existence matérielle alors même qu’il est la cause du désir humain. C’est le fameux objet dit « petit a » par Lacan. Causé par l’objet perdu du seul fait d’être né et déterminé par le manque, le désir visera des objets susceptibles de se substituer à l’être, pourtant inatteignable. Car l’objet manque et qu’il y a du manque dans l’objet…
C’est pourquoi dans le champ de l’amour il n’y a que des signes. Et l’amour en demande toujours plus, on ne sait pas quoi, à moins qu’il s’agisse de l’objet perdu, ce « vide de la Chose » qu’évoquait Freud.
La voie est désormais ouverte à Lacan qui, préoccupé par le désir, va interroger ce qui en fait le ressort : la jouissance. Nous voici parvenus à l’étreinte des corps qui bien qu’enlacés ne se confondent jamais en un…Rien ne peut se dire de la jouissance du partenaire : « Il n’y a pas de rapport sexuel ». Ca cloche au pays des « parlêtres », incomplétude, aléatoire, leurre et boiteries diverses sont au rendez-vous !
L’amour vient ici nous secourir : il est une suppléance à ce rapport qui n’existe pas.
Parlons plutôt « d’amur » comme le préconisait Lacan : le mur de l’objet petit a, le mur du langage portant le malentendu, le mur du non-rapport sexuel. IL y a donc une butée, l’impossible est un nom du réel. L’amour est par hasard la rencontre de deux savoirs insus…Alors, l’amour ? Une reconnaissance de l’impossible ??
Mais à l’heure où l’objet fascine et où la jouissance vient supplanter le désir, quid de cet impossible ? Quid de l’amour ?
Marc Lévy
SÉMINAIRE "LACAN, NOUS ET LE RÉEL"
CHRISTIAN DUBUIS SANTINI
samedi 10 octobre 2020 À 18H
10, PLACE DANMARTIN 30700 UZÈS
https://christian-dubuis-santini.tumblr.com/
Entrée Libre
Infos et réservation : 06 95 83 90 88
S’il ne vous saute pas aux yeux tout de suite, à la première appréhension, que s’il n’y avait pas de langage il n’y aurait pas de maître, que le maître ne se donne jamais par force ou simplement parce qu’il commande, et que comme le langage existe vous obéissez.
(Lacan)
Le séminaire "Lacan, nous et le Réel", de Christian Dubuis Santini, est déplié depuis 2016 à ce jour en 37 séances visibles sur la chaîne suivante :
Séminaire de Christian Dubuis Santini :

Un séminaire de PATRICK VALAS
"COMMENT DEVENIR PSYCHANALYSTE ET LE RESTER"
"Allons plus loin. Questionnons ce qu’il doit en être de l’analyste (de “l’être” de l’analyste) quant à son propre désir"
J. Lacan, Écrits, Paris, Le Seuil, 1966, p. 642.
SAMEDI 18 JUILLET 2020
À 18H
10, PLACE DANMARTIN 30700 UZÈS
avec le soutien de la
FONDATION DE LA PSYCHANALYSE
http://fondationpsychanalyse.fr/
Alors, qu’est-ce qui nous lie à celui avec qui nous nous embarquons, franchie la première appréhension du corps ? Et est-ce que l’analyste est là pour lui faire grief de ne pas être assez sexué, de jouir assez bien ? Et quoi encore ? Qu’est-ce qui nous lie à celui qui, avec nous, s’embarque dans la position qu’on appelle celle du patient ? Est-ce qu’il ne vous semble pas que, si on le conjoint à ce lieu, le terme frère qui est sur tous les murs, Liberté, Égalité, Fraternité, je vous le demande, au point de culture où nous en sommes, de qui sommes-nous frères ? De qui sommes-nous frères dans tout autre discours que dans le discours analytique ? Est-ce que le patron est le frère du prolétaire ? Est-ce qu’il ne vous semble pas que ce mot frère, c’est justement celui auquel le discours analytique donne sa présence, ne serait-ce que de ce qu’il ramène ce qu’appelle ce bastringue familial ? Vous croyez que c’est simplement pour éviter la lutte des classes ? Vous vous trompez, ça tient à bien d’autres choses que le bastringue familial. Nous sommes frères de notre patient en tant que, comme lui, nous sommes les fils du discours". Jacques Lacan, ...Ou pire, 21 juin 1972
Entrée Libre
Infos et réservation : 06 95 83 90 88


Séminaire Fondation de la psychanalyse
Lacan à L'Opéra
Organisé par Jean Charmoille psychiatre, psychanalyste, ténor dramatique
vidéo-conférence : Dimanche 9 février 2020 de 18:00 à 20:00
La voix colorée, qui chante à l'opéra, suggère-t-elle qu'il n'y a dans le sexe, comme le suppose Lacan, rien de plus que l'être de la couleur, soit femme couleur d'homme et/ou homme couleur de femme ?

Séminaire l'association l'@psychanalyse
le mardi 21 janvier à 19h
Rencontre avec Agnès Benedetti
"Le travail du négatif, dialectique et vide médian dans l'acte créateur."
https://www.apsychanalyse.org/textes
3 rue Urbain V à Montpellier.
Entrée libre.
Pour plus d'infos (notamment pour le code d'entrée): apsychanalyse@gmail.com


Recension d'Écrire la clinique" de Agnès Benedetti.
Il n'est peut-être pas anodin qu’Agnès Benedetti, qui a fondé cette expérience collective d'un atelier d'écriture avec des travailleurs sociaux, ait choisi que l'ouvrage soit édité chez l’Harmattan, maison d'éditions créée en 1975 qui privilégie pour un auteur son droit à l'édition avant tout.
Un lieu d'inscription. Un lieu fertile tel le vent saharien du même nom qui en asséchant les zones tropicales, invoque le renouveau de la saison des pluies.
Agnès Benedetti est psychanalyste. Elle mène des recherches sur les dispositifs cliniques en milieu professionnel dans le champ du travail social. Elle invente donc un dispositif d’atelier d'écriture au cours d'une supervision d'équipe où les écrits professionnels demeuraient lettre morte. Les participants de l'atelier qui le désirent s'embarquent dans l’aventure d’une résidence d'auteur. Qui commence à Moyrazès, le paysage de cette l'écriture, un lieu dans la mémoire., un contenant d'inquiétude et d'inattendu qui s'accorde à d'autres lieux-contenants chez la lectrice que je suis.
Les voici réunis dans une prise de risque, dans un franchissement vers l’inconnu de où cela mènera, de comment cela va-t-il opérer, de qu'est-ce qu'il se produira.
Comme le souligne l’un des contributeurs, "tout commence par une évocation" : un appel à faire advenir, une invitation à cultiver la fertilité du désir en Alchymiste, dans la pure définition Rabelaisienne "celle ou celui qui veut obtenir de mystérieuses transformations".
Et si nous devenions auteurs? Et qu'est-ce qu'être auteur? Où se situe le sujet/auteur dans cette chaîne de signifiants oubliés qui se révèlent à la lumière Noire de l’écriture?
Agnès Benedetti les invitent dans une découverte du peintre Soulages dès le début de l’aventure. Faire face au noir, voir l’Entre, l’Outre, voir ce qui s’y révèle et ce qui s’y efface. Puis ils empruntent « ces chemins non-frayés », « encombrés de broussailles », qu'elle évoque dans son introduction, car il va s'agir d'écrire, de dire, de lire, d'écouter, de réécrire, d’écrire par-dessus, d'effacer, d'écrire autour. De franchir.
Écrire comme on casse des pierres, forer jusqu'au cœur, puis renoncer, renoncer au sens de son dire, renoncer à la propriété du signifiant. Et peut-être renoncer à être auteur? Telle est la question.
Les contributeurs se lancent, balbutient, trébuchent, se confrontent aux lacunes du langage. Leur inquiétude de l'acte d'écrire vient questionner notre savoir lire.
Le dispositif tel qu'il est bâti permet l'invention : un mouvement de balancier des mots, une circulation des textes, un sens qui échappe, file, résonne ailleurs, trace et bâtit l’altérité salutaire car ce dispositif ne perd pas de vue l'effet supervision du travail clinique. C'est au fond un dispositif de traitement de la jouissance.
Le récit d'une situation pour qu'une écriture advienne, partie du singulier, du vécu, pour se fondre dans le groupe, resurgir de l'un par l'un. C'est ce qui produit l'effet palimpseste : c'est quand l'un-B efface le sens de l'écrit de l'un-A qu'un autre écrit de l'un-A apparait, advient alors et de l'écriture, et du sujet. Il y a du "l'un vers l'autre" c'est le mouvement du texte, mais l'effet se produit parce qu'un autre prend le risque d'être un qui réécrit. Ça s'écrit ailleurs et autrement, ça s'efface, s’évide, s'érode au fur et à mesure des scriptes. Leurs révélations se superposent à celles du lecteurs. Car on ne peut, en lisant, échapper aux effets du dispositif : nous sommes là, nous sommes du « commun » comme adresse, comme la lectrice que je suis.
Agnès et les contributeurs réalisent un palimpseste. Ces manuscrits qui étaient poncés, grattés (palimpseste vient du grec palímpsêstos, « gratté de nouveau ») pour être recouverts d’une nouvelle écriture. Deux textes à lire l'un sur l'autre. Puis un autre encore. Puis encore un. L’un se révélant là où l'autre s'efface.
Le "par chemins" qu’Agnès propose au groupe d'écrire, d'en être "auteurs", mènent à des révélations auxquels, ni les auteurs, ni les lecteurs ne s’attendent. Les signifiants se bousculent et de Soulages aux Ateliers, de Moyrazès au Lieu, des pans d'ombres s'éclairent et se tisse un espace « fibré ».
Cet ouvrage qui est la mise en pratique d'un dispositif se révèle comme une proposition exemplaire d'un lien social.
Un lien d'amour soucieux de pouvoir approcher ensemble l'impossible à dire, de franchir l'obstacle du langage lacunaire et de bâtir un « commun » où s’ ancrer davantage.
Agnès, tels les conteurs Catalans qui commencent leurs histoires par une brèche où scintille un bout de vérité « c'était et ce n'était pas », ou les conteurs Turcs qui eux les entament par « une fois il y eut, une fois il n'y eut pas », explore avec douceur et expérience le maniement du négatif pour qu'advienne la révélation d’un bout de ce « savoir nouveau dont nous ne savons rien » qui tisse notre rapport au réel de la clinique.
Valérie Vie - Octobre 2020
Corpo Freudiano Paris
Rencontres 2019-2020
19 janvier 2020 : L’après-coup
De 11h00 à 13h00 au Fil Rouge, 4 rue Wurtz 75013 Paris
LE FANTASME, pour une pratique de la psychanalyse, de Freud à Lacan
Nous nous réfèrerons ce dimanche 13 aux textes de Freud :
- Le maniement de l’interprétation de rêves dans la psychanalyse
- La dynamique de transfert
« La valeur de la psychanalyse, c’est d’opérer sur le fantasme”
(Lacan 1967 Journée sur la psychose)
Lacan continue énigmatiquement ainsi : “... Le degré de réussite a démontré que là se juge la forme qui assujettit comme névrose, perversion ou psychose. D’où se pose, à seulement s’en tenir là, que le fantasme donne à la réalité son cadre évident. “
Nous travaillerons sur ces textes :
Freud : - Le maniement de l’interprétation de rêves dans la psychanalyse
- La dynamique de transfert
- Les recommandations aux médecins qui exercent la psychanalyse
- Article sur le début du traitement
- Article sur Remémorer, répéter et élaborer
- Observations sur l’amour de transfert
Lacan : - Les écrits techniques de Freud (1953-1954), J. Lacan
- Séminaires de Marco Antonio Coutinho tenus à Paris en 2017.
Retour à l'accueil
Séminaire Récréation avec Patrick Valas
Comment devenir Psychanalyste et le rester ?
Dimanche 15 décembre 2019, à 18h.30.
"Freud c'est un nom rigolard.
Kraft durch Freud !
C'est tout un programme !
C'est le saut le plus rigolard de la sainte farce de l'histoire".
Jacques Lacan, in Encore, UNE LETTRE D'ÂMOUR, Leçon VII, p. 80.
"Le fait humain du Don est lié à tout usage de la Parole, ce qui situe la psychanalyse au centre de toutes les sciences de l'homme.
Ainsi la psychanalyse, n'est réductible, ni à la neurobiologie, ni à la médecine, ni à la pédagogie, ni à la psychologie, ni à la sociologie, ni à la science des institutions, ni à l'ethnologie, ni à la mythologie, ni à la science des communications, non plus qu'à la linguistique, et ses formes dissidentes se désignent d'elles-mêmes en ce qu'elles la font tout cela qu'elle n'est pas.
À toutes la psychanalyse a donné une inflexion décisive, et c'est de toutes qu'elle doit tirer son information"
.J.Lacan, statuts proposés pour l'Institut de Psychanalyse de la SPP. 1953/01/00.
On développera dans cette session, le statut de l'interprétation dans la pratique analytique.
COLLÈGES DES HUMANITÉS
Monpellier
Colloque du 5 & 6 Octobre 2019
PARLER ... C'EST MENTIR
« Où vas-tu ? dit l’un. A Cracovie dit l’autre. Quel menteur !s’exclame l’autre. Tu dis que tu vas à Cracovie pour que je croie que tu vas à Lemberg. Mais je sais bien que tu vas à Cracovie », Freud, Le mot d’esprit.
La question de la vérité a toujours été posée aux philosophes et autres penseurs. Pourtant, le suffixe « ité » aurait pu, à lui seul, être tenu pour une réponse car il signifie « comme ». Et si c’est « comme » c’est que ça n’est pas…

ECF École de la Cause Freudienne. J48
« Gai, gai, marions-nous ! La sexualité et le mariage dans l’expérience psychanalytique »
PARIS le 17 et 18 novembre 2018
Les 48e Journées de l’Ecole de la Cause freudienne se tiendront les 17 et 18 novembre à Paris. Elles sont placées sous la direction de Laura Sokolowsky et Éric Zuliani.

ECF École de la Cause Freudienne. J48
L’objet regard
PARIS le 5 et 6 novembre 2016
L’image a envahi le monde avec une puissance inégalée. L’apparence, l’être, la rue, le métro, les relations à l’autre, le social, la sexualité… Rien n’y échappe. Facebook, Instagram, Snapchat… je me donne à voir. Quel succès ! Big Brother ne fait plus peur. C’est le triomphe de l’œil, et de ses appareils sophistiqués : ils sont partout. « Le spectacle du monde, en ce sens, nous apparaît comme omnivoyeur »[1] (Jacques Lacan). Nous qui voulons voir et être vus, sommes devenus omnivoyeurs.

PIPOL 7 - 3ème CONGRÉS EUROPÉEN DE PSYCHANALYSE
BRUXELLES les 4 & 5 juillet 2015
Victime!
Comment y échapper ?
À contre-courant des thérapies cognitivo-comportementales qui promeuvent la figure de la victime pour mieux soutenir leur furor sanandi, l’expérience de la psychanalyse dégage un espace où le fantasme, comme masque de la répétition, débouche possiblement sur un traitement du réel en jeu. Ce sont ces questions qui seront l’enjeu des travaux de PIPOL 7. Nous espérons vous y retrouver.

NLS NEW LACANIAN SCHOOL OF PSYCHOANALYSIS
GENÈVE 9 et 10 mai 2015
CONGRÉS : MOMENTS DE CRISE
« Le temps est la substance dont je suis fait. Le temps est un fleuve qui m’emporte, mais je suis le fleuve : c’est un tigre qui me dévore mais je suis le tigre ; c’est un feu qui me consume mais je suis le feu. » (Jorge Luis Borges)
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